Pour bien finir cette semaine voici deux petites histoires de cambrioleurs malchanceux :
1-TOKYO (AFP) - Un cambrioleur japonais, qui croyait eu avoir de la chance en trouvant une porte non fermée à clef dans un immeuble d'Osaka, a été stoppé net dans sa tentative par une vingtaine de lutteurs de sumo qui habitaient là.
"J'ai attrapé ce type et l'ai serré dans mes bras", a raconté Dewanosato, lutteur de 1,80 m et 131 kilos.
"J'ai d'abord été saisi par un homme massif et quand la lumière a été allumée, j'étais cerné par plus d'une douzaine de sumotori", a expliqué à la police Konoshin Kawabata, un chômeur de 48 ans.
"J'ai été surpris", a ajouté le cambrioleur malchanceux.
2-TOKYO (Reuters) - La police japonaise a identifié l'auteur d'un vol grâce à une lettre d'excuses qu'il avait envoyée à sa victime.
L'homme s'est introduit au domicile d'une femme de 78 ans à Misato, dans l'ouest du Japon, l'a menacée d'un couteau avant de lui dérober 15.000 yens (105 euros), a rapporté la chaîne de télévision NHK.
Il lui a ensuite adressé par courrier ses excuses et lui a rendu l'argent.
La police a pu identifier le voleur, un ouvrier du bâtiment de 51 ans, notamment grâce à son écriture, a précisé NHK. Le suspect, qui a reconnu les faits, était très endetté.
La police n'a pas précisé comment la lettre avait permis de remonter jusqu'au cambrioleur.